Laila Albalkhi
étudiante en informatique, Université de Windsor, avec spécialisation en génie logiciel

Laila Albalkhi est étudiante en deuxième année en informatique à l’Université de Windsor, avec spécialisation en génie logiciel. Elle dirige le club d’étudiants développeurs Google de l’université, qui compte plus de 550 membres parmi les étudiants de premier cycle et les étudiants de cycle supérieur. Elle a mis plus de 50 étudiants en relation avec plusieurs organismes à but non lucratif et œuvres de bienveillance pour résoudre leurs problèmes avec des solutions informatiques et technologiques. Elle est membre du sénat universitaire au nom de l’association des étudiants de l’université et elle est la représentante des étudiants de premier cycle de l’école d’informatique[...]

Laila Albalkhi est étudiante en deuxième année en informatique à l’Université de Windsor, avec spécialisation en génie logiciel. Elle dirige le club d’étudiants développeurs Google de l’université, qui compte plus de 550 membres parmi les étudiants de premier cycle et les étudiants de cycle supérieur. Elle a mis plus de 50 étudiants en relation avec plusieurs organismes à but non lucratif et œuvres de bienveillance pour résoudre leurs problèmes avec des solutions informatiques et technologiques. Elle est membre du sénat universitaire au nom de l’association des étudiants de l’université et elle est la représentante des étudiants de premier cycle de l’école d’informatique de l’établissement. Elle fait du bénévolat en dehors de l’université et elle défend les intérêts des jeunes en tant que membre de haut rang de l’équipe des jeunes leaders de la mairie de la ville. Elle est assistante à l’enseignement et assistante à la recherche à l’université; son projet de recherche actuel concerne la mise en évidence de motifs récurrents dans la situation des patients des services de soins palliatifs. Elle s’efforce constamment de combler le fossé qui sépare le milieu éducatif de l’industrie dans le domaine de l’informatique et de mettre les étudiants en relation avec des activités dans lesquels ils pourront s’épanouir et avec des environnements où les gens sont attachés à leur réussite.

Ben Tyler Boudreau
étudiant en « Human Kinetics/Sport Management » (cinétique humaine / gestion des sports), Université Saint Francis Xavier

Ben Boudreau est un étudiant de quatrième année de l’Université Saint Francis Xavier à la motivation sans limite, qui s’est constitué un vaste réseau de relations avec les étudiants et à l’extérieur de l’établissement, dans le cadre de sa participation au programme « Human Kinetics/Sport Management » (cinétique humaine / gestion des sports) et à l’école de commerce Schwartz. Il s’implique activement dans des activités de loisir et de mise à contribution des étudiants dans sa communauté, il a d’excellents résultats dans ses études et il entretient des liens très étroits avec le programme multisports d’Antigonish et avec le marché des producteurs[...]

Ben Boudreau est un étudiant de quatrième année de l’Université Saint Francis Xavier à la motivation sans limite, qui s’est constitué un vaste réseau de relations avec les étudiants et à l’extérieur de l’établissement, dans le cadre de sa participation au programme « Human Kinetics/Sport Management » (cinétique humaine / gestion des sports) et à l’école de commerce Schwartz. Il s’implique activement dans des activités de loisir et de mise à contribution des étudiants dans sa communauté, il a d’excellents résultats dans ses études et il entretient des liens très étroits avec le programme multisports d’Antigonish et avec le marché des producteurs d’Antigonish. Il est le fondateur et créateur de la « St. FX Box », qui est une boîte souvenir pour la très convoitée bague X-Ring de l’université. Avec cette activité commerciale, Ben Boudreau a créé sa bourse « Pay It Forward », afin d’acheter la bague X-Ring pour un diplômé de 2022 qui n’avait pas les moyens de se la payer. En outre, il est le défenseur des intérêts des étudiants à l’OLTC de St. FX, il siège au conseil d’administration du club de soccer des Antigonish Celtics, il est membre du bureau de l’O-Crew de St. FX, il est le représentant des étudiants de quatrième année pour la société HKIN, il est bénévole chez Fit4Life et il est entraîneur de hockey amateur. Il attache une grande importance aux liens avec les autres, il prend le temps de les écouter et il se réjouit à l’idée de pouvoir élargir son savoir et ses activités d’entrepreneur.

Shandon Ashitei
étudiant en Biologie et égalité entre les sexes et justice sociale, Université Nipissing

Il est quelqu’un qui aime prendre la situation en main, qui est curieux, mais courageux et qui cherche constamment des occasions de faire de l’Université Nipissing un lieu plus équitable pour les étudiants racisés. Il est capitaine de l’équipe de basket-ball et cherche à mener des activités partout sur le campus et dans la localité de North Bay, avec pour objectif de susciter des changements profonds pour toute une génération dans le secteur. Après les mouvements de protestation de 2020 faisant suite du meurtre de George Floyd, Shandon Ashitei a décidé de s’attaquer au problème du racisme à l’encontre des[...]

Il est quelqu’un qui aime prendre la situation en main, qui est curieux, mais courageux et qui cherche constamment des occasions de faire de l’Université Nipissing un lieu plus équitable pour les étudiants racisés. Il est capitaine de l’équipe de basket-ball et cherche à mener des activités partout sur le campus et dans la localité de North Bay, avec pour objectif de susciter des changements profonds pour toute une génération dans le secteur. Après les mouvements de protestation de 2020 faisant suite du meurtre de George Floyd, Shandon Ashitei a décidé de s’attaquer au problème du racisme à l’encontre des Noirs dont les établissements d’enseignement et de recherche souffrent depuis très longtemps.

Il est cofondateur de la NUBASE (Nipissing University Black Association for Student Expression – association pour l’expression des étudiants noirs de l’Université Nipissing). La NUBASE est devenue l’une des organisations les plus influentes sur le campus et elle s’efforce d’éradiquer le racisme, tout en faisant la promotion d’initiatives en faveur de l’équité, de la diversité et de l’inclusion, grâce à divers projets, événements et programmes éducatifs, comme la campagne #NUnity et la série de vidéos « Time to Educate ». Shandon Ashitei est en train de travailler sur des stratégies innovantes en vue de diversifier la population étudiante et d’attirer des PANDC qui n’auraient, sans ses efforts, pas envisagé de faire leurs études à l’Université Nipissing. Il a été distingué, dans son rôle de meneur sur le campus, par le prestigieux prix David Marshall du leadership sur le campus de l’Université Nipissing en 2021. Il poursuit en ce moment ses études en vue de devenir médecin et se réjouit à l’idée d’élargir son activisme au champ de l’éducation médicale et des soins de santé.

Sarah Freeburn
étudiante en programme d’études sur la diversité et la justice sociale, Université de l’Île-du-Prince-Édouard (UPEI)

Elle est étudiante en quatrième année du programme d’études sur la diversité et la justice sociale à l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard (UPEI). Elle est à l’origine du club des étudiants pour la justice sociale de l’université, qui rassemble des étudiants ayant différentes connaissances et différents points de vue sur les questions de justice sociale et qui a organisé plusieurs événements à succès, en dépit des difficultés liées à la pandémie. Son rôle de responsable EDI (équité, diversité et inclusion) dans la vie sur le campus, qui est un nouveau poste au sein du département des affaires étudiantes, a permis de mieux[...]

Elle est étudiante en quatrième année du programme d’études sur la diversité et la justice sociale à l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard (UPEI). Elle est à l’origine du club des étudiants pour la justice sociale de l’université, qui rassemble des étudiants ayant différentes connaissances et différents points de vue sur les questions de justice sociale et qui a organisé plusieurs événements à succès, en dépit des difficultés liées à la pandémie. Son rôle de responsable EDI (équité, diversité et inclusion) dans la vie sur le campus, qui est un nouveau poste au sein du département des affaires étudiantes, a permis de mieux saisir toutes les questions en matière d’EDI dans le programme et dans les événements organisés pour les étudiants. Elle est lauréate de plusieurs prix, comme le prix du leadership sur le campus de l’association des étudiants de l’université, le prix Avery et le prix « Straight Arrow » d’alliée de la vérité et de la réconciliation. Elle a récemment été recrutée pour faire partie des 26 tout nouveaux chefs de file du Canada dans le programme « Social Changemakers » du mouvement Harmony. Son travail de militante pour l’accessibilité et pour l’inclusion auprès de l’Institut Lucy Maud Montgomery, au poste d’étudiante assistante en rédaction, dans le numérique et dans les activités de liaison, a permis de remédier à une lacune en matière d’EDI, avec l’incorporation d’équivalents textuels dans les articles publiés et l’ajout de volets audio commodes pour les utilisateurs aveugles ou ayant des déficiences visuelles. La vision qu’elle a d’un enseignement postsecondaire inclusif et accessible est complétée et renforcée par ses activités de meneuse, de chercheuse et de défenseuse des intérêts de la collectivité au sein de la population étudiante.

Oorja Gonepavaram
étudiante en commerce, Université Mount Allison

Oorja Gonepavaram est originaire de l’Inde et elle est étudiante internationale en quatrième année à l’Université Mount Allison. Elle fait des études de baccalauréat ès arts en commerce avec une mineure en économie et en études japonaises. Elle tient à utiliser la plateforme des études universitaires pour offrir aux groupes marginalisés, dont elle fait partie, un espace dans lequel ils ont la possibilité de s’épanouir. Son but est d’utiliser ses postes d’enseignement pour améliorer la façon dont les étudiants internationaux vivent leurs études. Elle a été tutrice au programme EAB pour aider les étudiants ayant besoin de consolider leurs compétences[...]

Oorja Gonepavaram est originaire de l’Inde et elle est étudiante internationale en quatrième année à l’Université Mount Allison. Elle fait des études de baccalauréat ès arts en commerce avec une mineure en économie et en études japonaises. Elle tient à utiliser la plateforme des études universitaires pour offrir aux groupes marginalisés, dont elle fait partie, un espace dans lequel ils ont la possibilité de s’épanouir. Son but est d’utiliser ses postes d’enseignement pour améliorer la façon dont les étudiants internationaux vivent leurs études. Elle a été tutrice au programme EAB pour aider les étudiants ayant besoin de consolider leurs compétences en anglais dans leur projet de faire des études en Amérique du Nord. Elle a contribué à améliorer les efforts sur le campus dans le domaine de la diversité, notamment en participant au bureau de MOSAIC (association de l’université) et aux programmes d’initiation pour les étudiants internationaux et de mentorat pour les étudiants internationaux, ainsi qu’au programme MASSIE. Pour innover dans la sphère universitaire, elle a choisi de rédiger et d’illustrer As You Are, livre pour enfants plaidant pour l’acceptation par l’individu de son orientation sexuelle dans la spiritualité et la foi bouddhiste. Ce livre a fait d’elle la toute première étudiante de premier cycle à être invitée à prononcer une allocution à l’UCR-QTSR. Elle est cofondatrice de Mustamya, réseau cherchant à déstigmatiser les problèmes de santé mentale. Son rêve est de trouver des applications pratiques de l’efficacité des entreprises commerciales dans l’amélioration des initiatives de justice sociale, afin que l’idéal puisse devenir réalité.

Anne Hung
étudiante en anglais, Université de Victoria

Elle est dans sa dernière année d’études de premier cycle à l’Université de Victoria et s’apprête à obtenir un diplôme en études anglaises avec mineure en communication professionnelle. Elle habite et travaille dans le territoire traditionnel des peuples lǝḱwǝŋǝn et elle a grandi dans le territoire ancestral et jamais cédé des peuples autochtones des Salishes de la côte, plus précisément dans les terres de la Première Nation Kwikwetlem. Elle se passionne pour l’art de raconter des histoires et elle est ravie d’avoir la possibilité d’entrer en relation avec des auteurs par l’intermédiaire de la revue littéraire canadienne The Malahat Review,[...]

Elle est dans sa dernière année d’études de premier cycle à l’Université de Victoria et s’apprête à obtenir un diplôme en études anglaises avec mineure en communication professionnelle. Elle habite et travaille dans le territoire traditionnel des peuples lǝḱwǝŋǝn et elle a grandi dans le territoire ancestral et jamais cédé des peuples autochtones des Salishes de la côte, plus précisément dans les terres de la Première Nation Kwikwetlem. Elle se passionne pour l’art de raconter des histoires et elle est ravie d’avoir la possibilité d’entrer en relation avec des auteurs par l’intermédiaire de la revue littéraire canadienne The Malahat Review, pour laquelle elle remplit les fonctions d’adjointe à la rédaction, ainsi que pour la revue des étudiants en anglais de premier cycle The Albatross, dont elle est directrice de la rédaction. Dans ses recherches, elle se concentre sur la culture imprimée et la technologie au dix-neuvième siècle et elle s’intéresse tout particulièrement à l’éthique de la correction des erreurs dans le numérique et à l’influence de la forme sur l’interprétation. Elle est en train de monter une exposition numérique en accès libre à partir des entrevues enregistrées que renferment les collections spéciales de l’Université de Victoria et elle espère ainsi à la fois souligner l’utilité de l’histoire orale et l’importance de l’offre d’un contenu accessible.

Sufia Langevin
étudiante en enseignement secondaire et en sciences humaines, Université Bishop’s

Elle est en troisième année de ses études avec double majeure en enseignement secondaire et en sciences humaines. Elle s’intéresse tout particulièrement au travail sur les pratiques de décolonisation de l’éducation dans la province du Québec et elle se passionne pour les concours oratoires. Elle aime bien accompagner les jeunes enfants et les adolescents dans leurs études. Elle emploie les compétences qui font partie intégrante de la panoplie des orateurs dans divers contextes, notamment dans ses études et dans son travail de défense des intérêts des étudiants. Elle a joué plusieurs rôles dans ses activités de militantisme et elle est[...]

Elle est en troisième année de ses études avec double majeure en enseignement secondaire et en sciences humaines. Elle s’intéresse tout particulièrement au travail sur les pratiques de décolonisation de l’éducation dans la province du Québec et elle se passionne pour les concours oratoires. Elle aime bien accompagner les jeunes enfants et les adolescents dans leurs études. Elle emploie les compétences qui font partie intégrante de la panoplie des orateurs dans divers contextes, notamment dans ses études et dans son travail de défense des intérêts des étudiants. Elle a joué plusieurs rôles dans ses activités de militantisme et elle est en ce moment vice-présidente aux affaires universitaires de l’association des étudiants de l’Université Bishop’s pour 2021–2022, après avoir été représentante spécialiste de l’équité en 2020–2021. Elle est également coprésidente du groupe de travail paritaire sur l’équité, la diversité et l’inclusion, au sein duquel elle privilégie l’expérience vécue par les étudiants et veille à ce qu’ils bénéficient du soutien approprié. Elle défend ardemment les intérêts des étudiants et les mobilise pour qu’ils se fassent entendre, tout en s’attaquant aux obstacles institutionnels freinant l’inclusion.

Mohamed Nashnoush
étudiant en sciences de la santé, Université Dalhousie

Il est actuellement en troisième année au programme de sciences de la santé de l’Université Dalhousie, dans le cadre duquel il étudie l’échographie utilisée pour les diagnostics médicaux. Il est originaire de Libye et a émigré au Canada à l’âge de 14 ans avec ses parents pour faire des études plus poussées. Il participe en ce moment même à plusieurs projets de recherche biogénétique faisant intervenir les protéines antigel, la bioéthique, l’apprentissage automatique et l’imagerie diagnostique. Il a fondé RadScholars pour aider des milliers d’étudiants à surmonter les obstacles qui les empêchent de se lancer dans la recherche. Cet organisme a[...]

Il est actuellement en troisième année au programme de sciences de la santé de l’Université Dalhousie, dans le cadre duquel il étudie l’échographie utilisée pour les diagnostics médicaux. Il est originaire de Libye et a émigré au Canada à l’âge de 14 ans avec ses parents pour faire des études plus poussées. Il participe en ce moment même à plusieurs projets de recherche biogénétique faisant intervenir les protéines antigel, la bioéthique, l’apprentissage automatique et l’imagerie diagnostique. Il a fondé RadScholars pour aider des milliers d’étudiants à surmonter les obstacles qui les empêchent de se lancer dans la recherche. Cet organisme a rassemblé plus de 15 000 dollars pour faciliter et coordonner des contributions à des travaux savants sous la direction d’étudiants, en partenariat avec l’école de médecine de Harvard, l’IMF (International Myeloma Foundation) et l’Association médicale canadienne. M. Nashnoush est également chef de l’exploitation d’Erevna, organisme à but non lucratif de catégorie 501 (c) (3), au sein duquel il coordonne des dons de plus de 350 000 articles d’EPI par l’intermédiaire de Supply Crate. Il a récemment présenté des recherches statistiques à des chefs de gouvernement des Nations Unies, de l’Union européenne et de l’Union africaine.

Il est lauréat de la Future Health Research and Innovation Scholarship (bourse pour l’avenir de la recherche et de l’innovation dans la santé) du centre IWK et du prix du jeune bénévole de la province. Dans son temps libre, il adore créer des jeux de cartes, jouer à des jeux de société, rencontrer de nouvelles personnes, apporter son soutien à des organismes à but non lucratif, offrir des services de tutorat, travailler avec des imprimantes 3D et faire des origamis.

Olivia Grace Stevenson
étudiante en kinésiologie, Université Acadia

Je m’appelle Olivia Stevenson et je suis étudiante en troisième année. Je suis établie dans les terres ancestrales du Mi’kma’ki, en Nouvelle-Écosse. Je suis inscrite à un programme de baccalauréat en kinésiologie à l’Université Acadia (à Wolfville, en Nouvelle-Écosse) et en formation pratique de PEC-SCPE. Mon objectif est d’obtenir le certificat de physiologiste de l’exercice clinique et de poursuivre mes études en cycle supérieur dans le domaine de la médecine translationnelle. J’adore à la fois la recherche et la prestation de services et je combine ces deux passions dans mon poste actuel d’assistante à la recherche pour Jackhabbit Inc et[...]

Je m’appelle Olivia Stevenson et je suis étudiante en troisième année. Je suis établie dans les terres ancestrales du Mi’kma’ki, en Nouvelle-Écosse. Je suis inscrite à un programme de baccalauréat en kinésiologie à l’Université Acadia (à Wolfville, en Nouvelle-Écosse) et en formation pratique de PEC-SCPE. Mon objectif est d’obtenir le certificat de physiologiste de l’exercice clinique et de poursuivre mes études en cycle supérieur dans le domaine de la médecine translationnelle. J’adore à la fois la recherche et la prestation de services et je combine ces deux passions dans mon poste actuel d’assistante à la recherche pour Jackhabbit Inc et dans mon travail de recherche pour mon mémoire de recherche spécialisée. J’ai le titre d’instructrice de yoga avec une formation de 200 heures et j’ai moi-même vécu l’effet que la pleine conscience peut avoir sur le bien-être physique et mental. Dans le cadre de la mise au point des cours de yoga et de pleine conscience que je propose sur le campus, j’ai également eu l’occasion d’en faire profiter mes camarades de classe, les membres du corps professoral et les habitants du secteur. Je me suis pleinement investie dans la vie sur le campus de l’Université Acadia sous tous ses aspects et j’ai ainsi noué des liens avec de nombreux étudiants, en tant que vice-présidente de la Société de kinésiologie d’Acadia, en tant que membre du bureau de plusieurs comités, en tant qu’assistante en résidence, en tant qu’assistante à l’enseignement et en tant qu’entraîneuse principale du programme d’entraînement physique d’Acadia et stagiaire au programme de conditionnement physique et sportif.

Topaza Yu
étudiante en kinésiologie, Université de la Saskatchewan

Elle est étudiante en quatrième année de kinésiologie à l’Université de la Saskatchewan, établissement qui se situe dans le territoire qui est couvert par le traité 6 et qui est la patrie des Métis. Elle s’implique beaucoup dans le développement de l’autonomie des jeunes et dans le domaine de la défense des droits en matière de santé sexuelle et de reproduction, comme le montre sa participation à la gestion d’Action Canada pour la santé et les droits sexuels et au comité consultatif national sur la jeunesse de l’organisme. Son travail pour Action Canada comprend des activités relatives aux politiques publiques, des[...]

Elle est étudiante en quatrième année de kinésiologie à l’Université de la Saskatchewan, établissement qui se situe dans le territoire qui est couvert par le traité 6 et qui est la patrie des Métis. Elle s’implique beaucoup dans le développement de l’autonomie des jeunes et dans le domaine de la défense des droits en matière de santé sexuelle et de reproduction, comme le montre sa participation à la gestion d’Action Canada pour la santé et les droits sexuels et au comité consultatif national sur la jeunesse de l’organisme. Son travail pour Action Canada comprend des activités relatives aux politiques publiques, des recherches en milieu communautaire sur les obstacles empêchant les jeunes de bénéficier de soins et la mise au point de campagnes promotionnelles sur la santé sexuelle. Elle croit fermement au principe qui veut que « rien pour nous qui ne se fasse sans nous » — principe qui lui dicte que ses activités de défense des intérêts des jeunes doivent s’appuyer sur les gens qui l’entourent, afin de veiller à ce qu’elles correspondent à leur expérience et à leurs besoins. En plus de ce principe, elle cherche à appliquer à son travail les principes de la lutte contre le racisme et l’oppression. Cette lutte signifie qu’il faut « désapprendre » les structures coloniales qui sont fermement enracinées dans notre société et se rendre compte des façons conscientes et inconscientes que nous avons de les réactiver. Après ses études de kinésiologie, Topaza Yu compte poursuivre son travail sur les droits en matière de santé sexuelle et de reproduction, en tant qu’activiste, conseillère et entrepreneure.

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