Leah Creaser
étudiante en biologie, Université Acadia
Leah Creaser de la Première Nation Acadia est à l’heure actuelle étudiante en quatrième année au programme de biologie de l’Université Acadia. Elle se spécialise, dans ce programme, dans l’incorporation de la science citoyenne dans la biologie des poissons. Elle est présidente de la société des étudiants autochtones de l’Université Acadia et veille à ce que le campus de l’établissement offre un milieu ouvert et inclusif, dans lequel tous les étudiants autochtones pourront se sentir en sécurité. Elle est également active sur le campus au sein de comités et de conseils chargés d’initiatives particulières auprès des hauts dirigeants de l’établissement,[...]
Leah Creaser de la Première Nation Acadia est à l’heure actuelle étudiante en quatrième année au programme de biologie de l’Université Acadia. Elle se spécialise, dans ce programme, dans l’incorporation de la science citoyenne dans la biologie des poissons. Elle est présidente de la société des étudiants autochtones de l’Université Acadia et veille à ce que le campus de l’établissement offre un milieu ouvert et inclusif, dans lequel tous les étudiants autochtones pourront se sentir en sécurité. Elle est également active sur le campus au sein de comités et de conseils chargés d’initiatives particulières auprès des hauts dirigeants de l’établissement, en tant que représentante des étudiants autochtones. Leah a créé un laboratoire de première année en biologie incorporant le savoir traditionnel des Mi’kmaq comme sujet de recherche. Ce laboratoire a été mis sur pied sous la forme d’un programme en 2020 dans le cadre du noyau de cours obligatoires du programme d’études de biologie. À son poste d’adjointe de recherche, elle remplit le rôle de chef de projet sur le terrain pour un laboratoire d’étude des poissons à l’Université Acadia. Ce rôle la conduit à travailler sur de nombreux projets en collaboration avec le Mi’kmaq Conservation Group et avec la Confederation of Mainland Mi’kmaq. En dehors de la salle de classe, Leah est la première rouliplanchiste mi’kmaw à bénéficier d’une commandite de Limitless Skateboards. Elle est aussi une joueuse de tambour traditionnel et une chanteuse au sein des Melgita’t Women. Elle fait de la broderie perlée traditionnelle et vit sa vie selon les quatre enseignements sacrés de la roue médicinale. Elle compte faire une maîtrise en biologie des poissons sous l’angle de la « double vue » des Autochtones.
Georges-Philippe Gadoury-Sansfaçon
étudiant en mathématiques et en psychologie, Université Bishop’s
Georges-Philippe Gadoury-Sansfaçon est récipiendaire de la bourse d’excellence du chancelier de l’Université Bishop’s, où il étudie les mathématiques et la psychologie appliquée. Il a siégé en tant que Vice-Président aux Affaires académiques 2020-2021 au Conseil de Représentation des Étudiants, et coordonne le projet des Conseiller.ères techniques à l’apprentissage en ligne de Bishop’s. Au fil des projets, il tente de promouvoir l’inclusion des étudiants en tant que partenaires dans la conception et la mise en place d’une éducation libérale moderne et novatrice. Sa formation interdisciplinaire, facilitée par l’enseignement libéral offert à Bishop’s, lui permet d’adopter une approche globale et créative au[...]
Georges-Philippe Gadoury-Sansfaçon est récipiendaire de la bourse d’excellence du chancelier de l’Université Bishop’s, où il étudie les mathématiques et la psychologie appliquée. Il a siégé en tant que Vice-Président aux Affaires académiques 2020-2021 au Conseil de Représentation des Étudiants, et coordonne le projet des Conseiller.ères techniques à l’apprentissage en ligne de Bishop’s. Au fil des projets, il tente de promouvoir l’inclusion des étudiants en tant que partenaires dans la conception et la mise en place d’une éducation libérale moderne et novatrice. Sa formation interdisciplinaire, facilitée par l’enseignement libéral offert à Bishop’s, lui permet d’adopter une approche globale et créative au leadership et à l’innovation dans des domaines allant de l’éthique en mathématiques et des technologies éducatives aux interventions pleine conscience.
Taylor Goodon
étudiante en chimie et en biologie, Université Brandon
Taylor Goodon est issue de la communauté métisse historique de Turtle Mountain, au sud-ouest du Manitoba. Elle est fière d’être membre de la Nation métisse et elle est aussi membre de la Fédération métisse du Manitoba. Elle est en troisième année de baccalauréat ès sciences à l’Université Brandon, avec majeure en chimie et mineure en biologie. Grâce à sa réussite dans ses études, elle a été retenue pour travailler au sein du laboratoire de recherche de Michael Charette et elle a présenté ses travaux de recherche lors de congrès scientifiques d’envergure provinciale, nationale et internationale. Son rêve, qui s’inspire de[...]
Taylor Goodon est issue de la communauté métisse historique de Turtle Mountain, au sud-ouest du Manitoba. Elle est fière d’être membre de la Nation métisse et elle est aussi membre de la Fédération métisse du Manitoba. Elle est en troisième année de baccalauréat ès sciences à l’Université Brandon, avec majeure en chimie et mineure en biologie. Grâce à sa réussite dans ses études, elle a été retenue pour travailler au sein du laboratoire de recherche de Michael Charette et elle a présenté ses travaux de recherche lors de congrès scientifiques d’envergure provinciale, nationale et internationale. Son rêve, qui s’inspire de l’expérience vécue par son arrière-grand-mère, est de devenir docteure et chercheuse en médecine. Elle a remporté de nombreux prix et bourses, notamment deux bourses du CNRSG, une bourse d’études Indspire et un Manitoba Indigenous Youth Achievement Award. Elle a récemment figuré au palmarès « Future 40 » de CBC Manitoba distinguant les futurs chefs de file de moins de 40 ans. Sa devise est « donne l’exemple » et elle s’efforce de lutter contre les stéréotypes touchant les femmes autochtones dans les sciences, en jouant un rôle de mentor auprès d’autres femmes autochtones s’intéressant à une carrière dans les STIM et en leur servant de source d’inspiration.
Felicity Hauwert
étudiante en sociologie, Université Carleton
Felicity Hauwert est en quatrième année de ses études de premier cycle. Elle vit en territoire algonquin dans la ville dite d’Ottawa. Felicity complète à l’heure actuelle un diplôme spécialisé en sociologie à l’Université Carleton, avec option coopérative. Ses intérêts portent sur la recherche qualitative dont le but est d’explorer l’occupation et la réclamation des espaces coloniaux par le biais de mouvements sociaux radicaux qui incorporent diverses formes de pratiques artistiques contemporaines utilisant des médias mixtes. En tant que leader étudiante, Felicity a été co-présidente à la fois de CUSFSAR (Carleton University Students for Scholars at Risk) et de SASA[...]
Felicity Hauwert est en quatrième année de ses études de premier cycle. Elle vit en territoire algonquin dans la ville dite d’Ottawa. Felicity complète à l’heure actuelle un diplôme spécialisé en sociologie à l’Université Carleton, avec option coopérative. Ses intérêts portent sur la recherche qualitative dont le but est d’explorer l’occupation et la réclamation des espaces coloniaux par le biais de mouvements sociaux radicaux qui incorporent diverses formes de pratiques artistiques contemporaines utilisant des médias mixtes. En tant que leader étudiante, Felicity a été co-présidente à la fois de CUSFSAR (Carleton University Students for Scholars at Risk) et de SASA (Sociology and Anthropology Student Association). Dans son rôle de co-présidente de CUSFSAR, elle a défendu les droits relatifs à la liberté universitaire et les droits des chercheurs et des chercheuses qui ont été arrêtés et/ou de ceux et de celles qui font face à des persécutions. Dans son rôle de co-présidente de SASA, elle a aidé les étudiants et les étudiantes à se connecter avec les professeurs et les professeures de divers départements et à explorer les opportunités d’études post-universitaires et elle a milité pour effectuer des changements systémiques au niveau de l’administration afin de supprimer les obstacles qui entravent l’accès à l’enseignement supérieur pour les étudiants et les étudiantes BIPOC et ceux et celles de première génération. Tant dans le cadre et en dehors de ses activités universitaires, Felicity s’efforce de centrer les voix des membres de la communauté dans tous les aspects de son travail. Par le biais de récits d’amour radical, d’abolition et de relationnalité, elle s’efforce d’amplifier les voix et le travail des personnes qui oeuvrent sur la ligne de front des mouvements communautaires ici, dans la ville dite d’Ottawa et à travers l’Île de la Tortue.
Tasha Hou
étudiante en chirurgie dentaire, Université de l’Alberta
Tasha Hou souhaite encourager les membres des populations minoritaires à se hisser à des postes de direction et à faire des études supérieures. Pour cela, elle a lancé d’abord l’organisme Women’s Empowerment Lunch and Learn, dont le but est d’offrir du mentorat et du soutien aux femmes et autres membres de populations minoritaires dans les soins dentaires, en organisant des conversations sur des problèmes pertinents dans la profession. Elle a ultérieurement lancé la première édition du Congrès annuel du leadership des femmes dans la médecine dentaire, avec un panel de responsables de la profession, qui ont parlé de leur propre[...]
Tasha Hou souhaite encourager les membres des populations minoritaires à se hisser à des postes de direction et à faire des études supérieures. Pour cela, elle a lancé d’abord l’organisme Women’s Empowerment Lunch and Learn, dont le but est d’offrir du mentorat et du soutien aux femmes et autres membres de populations minoritaires dans les soins dentaires, en organisant des conversations sur des problèmes pertinents dans la profession. Elle a ultérieurement lancé la première édition du Congrès annuel du leadership des femmes dans la médecine dentaire, avec un panel de responsables de la profession, qui ont parlé de leur propre parcours les ayant menés à des postes de responsabilité. Elle s’efforce aujourd’hui de mettre sur pied la première section canadienne de l’AAWD (America Association of Women Dentists), afin de disposer d’un organisme d’envergure nationale exprimant d’une seule voix le point de vue des femmes dans la médecine dentaire, pour favoriser l’offre de mentorat aux membres des minorités, en vue de développer leur confiance en soi. Au chapitre philanthropique, après avoir recueilli plus de 120 000 dollars pour des organismes de bienfaisance offrant des soins dentaires à des patients souffrant d’un manque de services dans les quartiers défavorisés d’Edmonton, elle a fait du bénévolat pour offrir des soins gratuits à des populations minoritaires au Pérou. Tasha cherche constamment à donner la parole aux membres des minorités dans sa communauté.
Chaten Jessel
étudiant en neurosciences, Université de Calgary
Chaten Jessel est étudiant en troisième année au programme de baccalauréat ès sciences en neurosciences de l’Université de Calgary. Il s’investit beaucoup dans la vie étudiante et est le président de nombreux clubs du campus. Il collabore avec le Leadership and Student Engagement Office et il a été élu par ses camarades représentant au sein de l’association étudiante de l’établissement. En tant que membre de l’association, il a réussi à susciter des transformations, avec la création d’un programme de bourses d’études visant à favoriser l’équité, la diversité et l’inclusion et de projets visant à réduire les frais pour les étudiants,[...]
Chaten Jessel est étudiant en troisième année au programme de baccalauréat ès sciences en neurosciences de l’Université de Calgary. Il s’investit beaucoup dans la vie étudiante et est le président de nombreux clubs du campus. Il collabore avec le Leadership and Student Engagement Office et il a été élu par ses camarades représentant au sein de l’association étudiante de l’établissement. En tant que membre de l’association, il a réussi à susciter des transformations, avec la création d’un programme de bourses d’études visant à favoriser l’équité, la diversité et l’inclusion et de projets visant à réduire les frais pour les étudiants, grâce à l’adoption de ressources éducatives libres dans la salle de classe.
Dans toutes ces activités, la motivation profonde de Chaten Jessel est d’avoir un effet positif sur tous les étudiants de l’Université de Calgary. L’une des autres passions de Chaten est la recherche universitaire. Il est depuis trois ans étudiant-chercheur au laboratoire PsychPGx et il adore ce travail. Même s’il ne sait pas ce que l’avenir lui réserve sur le plan professionnel, il sait que, quoi qu’il arrive, il aura toujours son attitude positive et son souci d’aider les autres.
Devon Parris
étudiant en anglais, Université Saint Francis Xavier
Devon Parris est originaire de Kingston, en Ontario. Il est en quatrième année d’études anglaises à l’Université Saint Francis Xavier. Il a été sportif universitaire et figure parmi les six premiers bénéficiaires de la bourse McKenna Centre Racial Justice Leadership Grant, conçue pour les étudiants PANDC (personnes autochtones, noires et de couleur) souhaitant lancer des projets de militantisme, de sensibilisation ou de recherche dans le domaine de la justice raciale. Le projet de Devon s’intitule « Anti-Racist Film Review ». Il s’agit d’un site Web de critiques de films analysant les discours racistes dans les films, tout en faisant une critique des[...]
Devon Parris est originaire de Kingston, en Ontario. Il est en quatrième année d’études anglaises à l’Université Saint Francis Xavier. Il a été sportif universitaire et figure parmi les six premiers bénéficiaires de la bourse McKenna Centre Racial Justice Leadership Grant, conçue pour les étudiants PANDC (personnes autochtones, noires et de couleur) souhaitant lancer des projets de militantisme, de sensibilisation ou de recherche dans le domaine de la justice raciale. Le projet de Devon s’intitule « Anti-Racist Film Review ». Il s’agit d’un site Web de critiques de films analysant les discours racistes dans les films, tout en faisant une critique des représentations superficielles, exploiteuses ou faussées qui relèvent d’un racisme contemporain. Il espère faire en sorte que les spectateurs soient plus instruits pour ce qui est des films antiracistes et des discours antiracistes, tout en mettant également en relief les récits qui font une description nuancée et approfondie de l’oppression. Au cours des 18 derniers mois, Devon a été invité à participer à un panel sur les élections au Brian Mulroney Institute of Government (BMIG) en 2020. Il a participé à la préparation du sommet de 2022 de l’Université Saint Francis Xavier sur l’équité, la diversité et l’inclusion (sommet mettant en vedette des chercheurs et des étudiants PANDC au Canada atlantique). Et il a également participé à des congrès nationaux et régionaux de premier cycle universitaire pour discuter du discours antiraciste dans les films. Après ses études de premier cycle, il compte soit faire une maîtrise en théorie critique de la race soit s’inscrire à l’école de droit Schulich de l’Université Dalhousie, dans l’optique de contribuer à la justice raciale au Canada.
Kevin Roy
étudiant en médecine, Université d’Ottawa
Kevin Roy est étudiant de deuxième année en médecine à l’Université d’Ottawa. Avant d’entamer ses études de médecine, il a obtenu un baccalauréat ès sciences avec spécialisation en sciences biomédicales, toujours dans ce même établissement. Kevin cherche à réduire les obstacles financiers qui empêchent les étudiants d’accéder aux études postsecondaires au Canada. Il dirige à l’heure actuelle une équipe d’étudiants élaborant un manuel destiné à être une ressource libre pour un grand cours de premier cycle à la faculté des sciences. Il espère que son projet servira d’inspiration à d’autres étudiants dans le pays pour qu’ils militent pour l’adoption de[...]
Kevin Roy est étudiant de deuxième année en médecine à l’Université d’Ottawa. Avant d’entamer ses études de médecine, il a obtenu un baccalauréat ès sciences avec spécialisation en sciences biomédicales, toujours dans ce même établissement. Kevin cherche à réduire les obstacles financiers qui empêchent les étudiants d’accéder aux études postsecondaires au Canada. Il dirige à l’heure actuelle une équipe d’étudiants élaborant un manuel destiné à être une ressource libre pour un grand cours de premier cycle à la faculté des sciences. Il espère que son projet servira d’inspiration à d’autres étudiants dans le pays pour qu’ils militent pour l’adoption de ressources libres pour les cours du postsecondaire. Lors de ses études de premier cycle, il a travaillé sur un projet de recherche évaluant les effets du module « Growth & Goals », ressource pédagogique libre, dans les cours de premier cycle. Kevin se passionne pour la question de savoir comment les étudiants vivent les études et il a organisé de nombreux rassemblements et de nombreuses activités de développement des relations pour ses camarades lors de ses trois mandats au bureau de l’association des étudiants de sciences. Il aime aussi l’activité physique et joue à des sports comme l’ultimate et le spikeball.
Samia Sami
étudiante en génie et en génie électrique, Université de la Saskatchewan
Samia Sami est en train d’achever ses études en génie électrique à l’Université de la Saskatchewan et figure au palmarès des 25 plus grands écologistes canadiens de moins de 25 ans. Elle a amélioré la vie étudiante à l’Université de la Saskatchewan en offrant des services de mentorat individualisé en génie, en défendant les intérêts des étudiants en tant que « commissaire des études universitaires » à l’association des étudiants de génie de Saskatoon et en animant des sessions hebdomadaires sur les compétences pour réussir dans les études, en tant que codirigeante d’un groupe sur les études en génie. Elle a organisé l’édition 2020 de[...]
Samia Sami est en train d’achever ses études en génie électrique à l’Université de la Saskatchewan et figure au palmarès des 25 plus grands écologistes canadiens de moins de 25 ans. Elle a amélioré la vie étudiante à l’Université de la Saskatchewan en offrant des services de mentorat individualisé en génie, en défendant les intérêts des étudiants en tant que « commissaire des études universitaires » à l’association des étudiants de génie de Saskatoon et en animant des sessions hebdomadaires sur les compétences pour réussir dans les études, en tant que codirigeante d’un groupe sur les études en génie. Elle a organisé l’édition 2020 de l’IEEE Illumination Conference et est ambassadrice internationale du réseau WomenTech. Elle organise, en tant que vice-présidente de la section d’Ingénieurs sans frontières à l’Université de la Saskatchewan, des initiatives sur l’inclusion des femmes dans son établissement. Elle a fait des recherches dans le domaine des miniréseaux d’énergie renouvelable et de l’observabilité des réseaux intégrés de distribution de l’énergie solaire. Elle a fait des présentations au sujet de ses recherches sur diverses plateformes, dont la Women in Science and Engineering à Toronto. Samia a été nommée meilleure étudiante du Canada par la Power & Energy Society de l’IEEE (IEEE-PES). Elle a cofondé le projet Saskatoon Solar Shelter pour l’accès à des services viables de transport en commun. En tant que présidente de la section des étudiants à l’Université de la Saskatchewan de l’IEEE-PES, elle s’attache à offrir aux étudiants une plateforme internationale pour progresser dans leur carrière et dans leurs études dans le domaine de la viabilité énergétique.
Samuel Seshadri
étudiant en économie, Université de Victoria
Sam s’implique beaucoup dans le sport universitaire à l’Université de Victoria et dans la sphère des études en économie, en tant qu’étudiant. Il a dirigé, avec un coéquipier, un projet intitulé « Imagine If They Stayed », dans lequel des sportifs universitaires plus âgés offrent des services de mentorat à de jeunes sportifs universitaires pour lutter contre la négligence dont souffrent les sportifs et ses effets négatifs sur la santé physique et mentale, qui sont un problème très répandu dans le sport de compétition. Sam est également directeur de l’association des étudiants en économie, organisme bénévole d’étudiants, au sein duquel il a[...]
Sam s’implique beaucoup dans le sport universitaire à l’Université de Victoria et dans la sphère des études en économie, en tant qu’étudiant. Il a dirigé, avec un coéquipier, un projet intitulé « Imagine If They Stayed », dans lequel des sportifs universitaires plus âgés offrent des services de mentorat à de jeunes sportifs universitaires pour lutter contre la négligence dont souffrent les sportifs et ses effets négatifs sur la santé physique et mentale, qui sont un problème très répandu dans le sport de compétition. Sam est également directeur de l’association des étudiants en économie, organisme bénévole d’étudiants, au sein duquel il a supervisé la transition lors de la mise en place d’un centre de tutorat pour les cours d’introduction à l’économie et il a dirigé des sessions de révision pour les examens, organisées par des bénévoles pour aider les étudiants à connaître la réussite. Sam a intégré sa passion pour l’économie et pour la promotion de la santé dans ses travaux de recherche en cours, qui défendent l’idée d’un indicateur de rentabilité plus acceptable sur le plan social pour les problèmes de financement des traitements de fertilisation in vitro pour les personnes stériles. Sam compte continuer de combiner, dans sa carrière professionnelle, la médecine et l’économie, en travaillant dans le domaine de la médecine préventive et de la santé publique.