Mathieu Chin
Biomécanique, Université de Calgary
Mathieu Chin est un étudiant de troisième année en kinésiologie à l’Université de Calgary qui se spécialise en biomécanique. Quand il aura obtenu son diplôme, il compte poursuivre ses études à l’école de médecine, où il a été conditionnellement accepté pour l’année 2020 dans le programme d’éducation médicale de premier cycle de l’École de médecine Cumming, avec une bourse du programme Pathway to Medicine.
À l’heure actuelle, il occupe le poste de chercheur de premier cycle au Centre de recherche sur la prévention des blessures sportives, l’un des centres de recherche sur la prévention des blessures des comités internationaux des[...]
Mathieu Chin est un étudiant de troisième année en kinésiologie à l’Université de Calgary qui se spécialise en biomécanique. Quand il aura obtenu son diplôme, il compte poursuivre ses études à l’école de médecine, où il a été conditionnellement accepté pour l’année 2020 dans le programme d’éducation médicale de premier cycle de l’École de médecine Cumming, avec une bourse du programme Pathway to Medicine.
À l’heure actuelle, il occupe le poste de chercheur de premier cycle au Centre de recherche sur la prévention des blessures sportives, l’un des centres de recherche sur la prévention des blessures des comités internationaux des Jeux olympiques. Ses recherches portent sur les facteurs de risques biomécaniques des mouvements spécifiques au sport parmi les jeunes joueurs de basket-ball. Son travail a également eu des effets considérables pour l’évaluation des effets des politiques sur les mises en échec parmi les jeunes joueurs de hockey relativement à la réduction des blessures et des commotions cérébrales pour les jeunes joueurs d’un bout à l’autre du Canada. Il s’intéresse également à la biomécanique orthopédique ainsi qu’à l’encéphalopathie traumatique chronique, une maladie neurologique. Il travaille comme bénévole en tant que coordinateur d’éducation au Centre Thrive, il est membre de l’Académie des chercheurs et représentant de la kinésiologie au syndicat des étudiants, où il travaille sur diverses initiatives en matière de santé mentale et pour augmenter les expériences d’apprentissage intégrées en kinésiologie.
Mathew Dueck
Travail social autochtone, Université Laurentienne
Mathew Dueck poursuit à l’heure actuelle ses études en vue de l’obtention d’un baccalauréat spécialisé en travail social autochtone à l’Université Laurentienne, située sur les territoires traditionnels des Premières nations des Atikameksheng Anishnawbek et des Wahnapitae. Mathew a des racines parmi les nehiyawak (les Cris des Plaines) et les Métis de la rivière Rouge et il a été élevé dans la tradition mennonite. Il aspire à appliquer ses connaissances en tant que chercheur prometteur et concepteur de politiques pour répondre aux problèmes d’accessibilité, de santé mentale et de représentation autochtone dans l’enseignement post-secondaire. Également, motivé à utiliser les graines culturelles[...]
Mathew Dueck poursuit à l’heure actuelle ses études en vue de l’obtention d’un baccalauréat spécialisé en travail social autochtone à l’Université Laurentienne, située sur les territoires traditionnels des Premières nations des Atikameksheng Anishnawbek et des Wahnapitae. Mathew a des racines parmi les nehiyawak (les Cris des Plaines) et les Métis de la rivière Rouge et il a été élevé dans la tradition mennonite. Il aspire à appliquer ses connaissances en tant que chercheur prometteur et concepteur de politiques pour répondre aux problèmes d’accessibilité, de santé mentale et de représentation autochtone dans l’enseignement post-secondaire. Également, motivé à utiliser les graines culturelles de son éducation au Manitoba, ainsi que ses connexions respectueuses avec la Première nation des Mistawasis, Mathew continue à promouvoir l’inclusion de ceux qui, comme lui, ont été confrontés à la marginalisation. Du fait qu’il fait également face à un défi supplémentaire, puisqu’il souffre d’un handicap, les objectifs de ses recherches et ses intérêts professionnels se situent à l’intersection de la défense innovatrice des droits et de la législation transformatrice, où sa passion pour les droits de la personne et pour la culture lui a déjà valu un nouveau nom qui lui a été présenté par les anciens de la communauté autochtone : Gimewan Niimi (Danseur de la pluie). Porté par une vision pour les expériences éducatives inclusives qui prennent racine dans les enseignements des Cris et des Michifs, Mathew continue de représenter un parangon de diversité et de résilience et à semer les graines de la vérité et de la réconciliation pour les générations à venir.
Taylor Irvine
Étude de la religion, Université de Toronto
Taylor Irvine est une étudiante en fin de premier cycle dans le département de l’étude de la religion à l’Université de Toronto. Ses études l’ont intriguée et l’ont exposée à diverses visions du monde et diverses structures de gouvernement, aux problèmes pressants de justice sociale et à l’intersection de la religion, des questions liées au genre, des droits de la personne et de la politique publique. Elle a dirigé de multiples initiatives interculturelles à la fois sur le campus et hors campus afin de mettre sur pied un corps étudiant plus soutenu et mieux connecté et pour rapprocher les étudiants[...]
Taylor Irvine est une étudiante en fin de premier cycle dans le département de l’étude de la religion à l’Université de Toronto. Ses études l’ont intriguée et l’ont exposée à diverses visions du monde et diverses structures de gouvernement, aux problèmes pressants de justice sociale et à l’intersection de la religion, des questions liées au genre, des droits de la personne et de la politique publique. Elle a dirigé de multiples initiatives interculturelles à la fois sur le campus et hors campus afin de mettre sur pied un corps étudiant plus soutenu et mieux connecté et pour rapprocher les étudiants issus de divers milieux culturels. Elle a créé et mis en oeuvre des projets de transmission du savoir au Kenya grâce à l’engagement d’intervenants tels que des médecins, des décideurs politiques et des familles de patients. Suite à ce projet, elle a l’intention de fournir des informations accessibles sur le cancer et les soins de santé afin de responsabiliser les familles des patients dans le but d’améliorer leur état de santé. Taylor a l’intention de poursuivre une carrière dans le domaine des politiques sur les droits de la personne et sur la transmission du savoir afin de soutenir les femmes, les communautés marginalisées et leur auto-détermination.
Owen Dan Luo
Santé des enfants et sciences de la santé, Université McMaster
Owen croit dans le pouvoir de responsabilisation des étudiants pour répondre aux défis auxquels sont confrontés l’enseignement et les soins de santé au Canada. Son frère aîné est sa plus grande source d’inspiration. Le fait d’avoir grandi avec un frère atteint du syndrome de Klinefelter ainsi qu’une série de défis compliqués liés à la santé mentale ont motivé Owen à défendre les droits des enfants et des étudiants ayant des besoins physiques et mentaux spéciaux. Owen a amélioré l’expérience éducative des étudiants de l’Université McMaster quand il a enseigné aux étudiants, en tant qu’assistant à l’enseignement, l’autogestion de la santé[...]
Owen croit dans le pouvoir de responsabilisation des étudiants pour répondre aux défis auxquels sont confrontés l’enseignement et les soins de santé au Canada. Son frère aîné est sa plus grande source d’inspiration. Le fait d’avoir grandi avec un frère atteint du syndrome de Klinefelter ainsi qu’une série de défis compliqués liés à la santé mentale ont motivé Owen à défendre les droits des enfants et des étudiants ayant des besoins physiques et mentaux spéciaux. Owen a amélioré l’expérience éducative des étudiants de l’Université McMaster quand il a enseigné aux étudiants, en tant qu’assistant à l’enseignement, l’autogestion de la santé et du mieux-être. En tant que co-président du IIIe colloque annuel sur la santé des enfants de McMaster, il a encouragé la collaboration pluridisciplinaire, et en tant que rédacteur en chef de la Revue de premier cycle sur les sciences de la santé de McMaster, The Meducator, il a célébré la voix des étudiants de premier cycle. Owen est également un jeune poète qui a publié des poèmes primés et il est également co-capitaine de l’équipe universitaire de fleuret masculin. C’est un clinicien en herbe qui est en train de terminer son baccalauréat ès sciences spécialisé en santé des enfants à l’Université McMaster. Il est également un ancien élève de l’Académie pour enfants doués – PACE. En hommage à son dévouement au service à la communauté et à la participation des étudiants dans la communauté de Hamilton (Ontario), Owen a obtenu la médaille de bronze du Gouverneur général et il est également le lauréat potentiel de la médaille d’or de 2018 du Chancelier de l’Université McMaster.
Ethan Pohl
Sociologie (criminologie, droit et politique sociale) et études politiques, Université Bishop’s
Ethan Pohl est un étudiant de quatrième année à l’Université Bishop’s, située sur les terres traditionnelles de la confédération des Abenakis et des Wabanakis. Il étudie en vue de l’obtention d’un baccalauréat en sociologie avec spécialisation en criminologie, en droit et en politique sociale, et une mineure en études politiques. Ethan s’efforce d’amplifier la voix des étudiants par divers moyens, entre autres par son travail en tant que gérant de la station radio de l’Université Bishop’s, Toast Radio, la radio en ligne dirigée par les étudiants, par son statut de membre du Conseil des étudiants Maple League, ainsi que par[...]
Ethan Pohl est un étudiant de quatrième année à l’Université Bishop’s, située sur les terres traditionnelles de la confédération des Abenakis et des Wabanakis. Il étudie en vue de l’obtention d’un baccalauréat en sociologie avec spécialisation en criminologie, en droit et en politique sociale, et une mineure en études politiques. Ethan s’efforce d’amplifier la voix des étudiants par divers moyens, entre autres par son travail en tant que gérant de la station radio de l’Université Bishop’s, Toast Radio, la radio en ligne dirigée par les étudiants, par son statut de membre du Conseil des étudiants Maple League, ainsi que par ses recherches et son excellence scolaire. Il est fier de créer des espaces pour les nouvelles idées et les conversations difficiles. Quand il met au défi les conceptions dominantes des étudiants en tant que consommateurs passifs, Ethan espère créer une culture universitaire où les étudiants sont intimement impliqués dans leur propre apprentissage à tous les niveaux.
Quand il aura terminé ses études de premier cycle, Ethan a l’intention de poursuivre des études de cycle supérieur en sociologie avec pour but ultime de contribuer à l’excellence universitaire tout en enseignant aux étudiants de sociologie comment se responsabiliser. Les travaux d’Ethan ont été publiés dans le Rapport du ministère de la justice ainsi que dans la Revue internationale pour étudiants en tant que partenaires, et il a présenté des communications dans des congrès canadiens et internationaux sur la sociologie, sur l’enseignement et l’apprentissage et sur la sécurité internationale.
Mariam Ragab
Informatique, sociologie et anthropologie sociale de la justice sociale et de l’inégalité, Université Dalhousie
Mariam Ragab est une étudiante de troisième année en informatique à l’Université Dalhousie, où elle poursuit une mineure en justice sociale et en inégalité. Mariam est passionnée par l’éducation des adolescents et l’autonomisation, ainsi que par la politique publique internationale. Elle a participé avec ferveur à des débats publics, elle a enseigné le code aux enfants et a enseigné des cours à Dalhousie en tant qu’assistante à l’enseignement. Elle aime réinvestir dans la communauté de diverses manières. Elle est passionnée par les droits de la personne internationaux, étant donné qu’elle est arrivée au Canada en tant qu’immigrante venue d’Égypte. En[...]
Mariam Ragab est une étudiante de troisième année en informatique à l’Université Dalhousie, où elle poursuit une mineure en justice sociale et en inégalité. Mariam est passionnée par l’éducation des adolescents et l’autonomisation, ainsi que par la politique publique internationale. Elle a participé avec ferveur à des débats publics, elle a enseigné le code aux enfants et a enseigné des cours à Dalhousie en tant qu’assistante à l’enseignement. Elle aime réinvestir dans la communauté de diverses manières. Elle est passionnée par les droits de la personne internationaux, étant donné qu’elle est arrivée au Canada en tant qu’immigrante venue d’Égypte. En décembre dernier, elle a eu l’occasion de juger des débatteurs de haut rang lors des championnats du monde de débats universitaires, où elle a été exposée aux perspectives des meilleurs débatteurs et des meilleurs intellectuels venus du monde entier. Mariam est également une bénévole passionnée pour l’organisme Vision globale, où elle tient le rôle de coordinatrice pour la région atlantique. Elle a co-organisé deux caucus nationaux de jeunes ambassadeurs, un sommet de jeunes ambassadeurs de l’Arctique et une table ronde à Halifax. Elle est tout particulièrement passionnée par le Grand Nord canadien et aime partager des récits de résilience de la région. Elle a eu l’occasion de représenter le Canada en tant que membre de la délégation officielle des jeunes Canadiens lors du sommet de l’APEC en 2018, où elle a eu l’occasion de présenter, devant des agents du changement de la région de l’Asie du Pacifique, une communication sur les défis et les opportunités à l’ère du monde numérique.
Hayat Showail
Environnement, durabilité et société, Université Dalhousie
Le travail de Hayat Showail dans sa communauté illustre sa passion pour la durabilité environnementale, la diversité, l’inclusion et l’équité dans la culture canadienne. Hayat est née aux États-Unis et elle a déménagé seize fois dans sa vie. Elle a vécu aux États-Unis, principalement dans le Midwest, au Missouri et en Indiana, ainsi que dans le Sud, en Géorgie. Hayat a également fait ses études collégiales et la moitié de ses études secondaires au Moyen-Orient, à Beyrouth (Liban), où elle a découvert pour la première fois son amour pour le travail communautaire quand elle a donné des cours particuliers à[...]
Le travail de Hayat Showail dans sa communauté illustre sa passion pour la durabilité environnementale, la diversité, l’inclusion et l’équité dans la culture canadienne. Hayat est née aux États-Unis et elle a déménagé seize fois dans sa vie. Elle a vécu aux États-Unis, principalement dans le Midwest, au Missouri et en Indiana, ainsi que dans le Sud, en Géorgie. Hayat a également fait ses études collégiales et la moitié de ses études secondaires au Moyen-Orient, à Beyrouth (Liban), où elle a découvert pour la première fois son amour pour le travail communautaire quand elle a donné des cours particuliers à des enfants défavorisés. Elle comprend qu’elle est privilégiée d’avoir pu voyager et souhaite payer de retour autant que possible en s’immergeant dans chaque communauté où elle se trouve. À l’heure actuelle, à Halifax, Hayat défend la cause du changement et de la croissance; pour elle, aucun obstacle n’est trop grand et tous peuvent être franchis. Elle entame des conversations difficiles sur le racisme, le symbolisme et l’équité avec les autorités administratives dans le but de mettre fin, petit à petit, à l’injustice. Hayat est également employée au centre d’orientation professionnelle de Dalhousie où elle aide chaque jour les étudiants à faire les premiers pas sur le chemin qui mène à leur avenir.
Tonya-Leah Watts
Sciences biomédicales et études autochtones, Université Trent
Tonya-Leah Watts est originaire de la réserve indienne non cédée de Wikwemikong, située sur l’île Manitoulin, et elle termine à l’heure actuelle son baccalauréat ès sciences spécialisé en sciences biomédicales à l’Université Trent, avec une mineure en études autochtones. Elle a obtenu plusieurs bourses et récompenses en reconnaissance de ses excellents résultats universitaires, de son leadership communautaire exceptionnel et de ses implications. Elle a travaillé pour des programmes de recherche et de mentorat à l’Université McMaster, à l’Institut de recherche de l’hôpital Sick Kids et à l’Université de Toronto. Tonya-Leah se prépare à une[...] |
Tonya-Leah Watts est originaire de la réserve indienne non cédée de Wikwemikong, située sur l’île Manitoulin, et elle termine à l’heure actuelle son baccalauréat ès sciences spécialisé en sciences biomédicales à l’Université Trent, avec une mineure en études autochtones. Elle a obtenu plusieurs bourses et récompenses en reconnaissance de ses excellents résultats universitaires, de son leadership communautaire exceptionnel et de ses implications. Elle a travaillé pour des programmes de recherche et de mentorat à l’Université McMaster, à l’Institut de recherche de l’hôpital Sick Kids et à l’Université de Toronto. Tonya-Leah se prépare à une carrière médicale où elle pourra combiner le savoir autochtone et le savoir occidental afin de fournir des soins de qualité aux peuples autochtones du Canada.
Tonya-Leah trouve toujours le temps de garder ses autres promesses en harmonie : sa famille, ses amis, ses activités dans la communauté et à l’université, ainsi que sa passion pour la musique, qui ont toutes joué un rôle primordial dans la voie qu’elle suit à l’heure actuelle. Elle est douée et dévouée dans de nombreux domaines : leadership, défense des droits, sciences, musique, mentorat. Elle croit que la revitalisation culturelle et le partage des voix autochtones sont des actes de résurgence et de pouvoir et que la réconciliation arrivera quand les autres seront prêts à entendre ces voix. En fin de compte, Tonya-Leah cherche à vivre une vie dans laquelle elle pourra fièrement représenter son patrimoine et elle espère qu’elle pourra toujours écouter son coeur. |
Tingting Yan
Sciences de la santé, sciences biomédicales, Université de Calgary
Tingting est une étudiante de quatrième année à l’Université de Calgary où elle poursuit des études en vue de l’obtention d’un baccalauréat en sciences de la santé avec spécialisation. Elle est passionnée et cherche à atteindre un but de base mais souvent invisible de l’enseignement post-secondaire : piquer la curiosité afin de planter des interactions significatives entre les personnes de toutes les perspectives et de tous les milieux. Ces connexions aboutissent à une communauté plus bienveillante, tant dans l’enseignement post-secondaire qu’au-delà. Inspirée par le blogue Humans of New York, elle a fondé Humans of UCalgary (HOUC) pour partager les récits[...]
Tingting est une étudiante de quatrième année à l’Université de Calgary où elle poursuit des études en vue de l’obtention d’un baccalauréat en sciences de la santé avec spécialisation. Elle est passionnée et cherche à atteindre un but de base mais souvent invisible de l’enseignement post-secondaire : piquer la curiosité afin de planter des interactions significatives entre les personnes de toutes les perspectives et de tous les milieux. Ces connexions aboutissent à une communauté plus bienveillante, tant dans l’enseignement post-secondaire qu’au-delà. Inspirée par le blogue Humans of New York, elle a fondé Humans of UCalgary (HOUC) pour partager les récits de son campus. Au cours des quatre dernières années, le réseau social HOUC a obtenu 5000 abonnés originaires de 45 pays et a publié le tout premier livre de photo-journalisme de l’université. Afin d’aider la communauté élargie à bénéficier de l’application des principes du photo-journalisme, tels que l’ouverture d’esprit et l’empathie, à la vie de tous les jours, elle a créé le programme communautaire « Human Connection » qui facilite les conversations entre des centaines de personnes étrangères les unes aux autres. Hors campus, elle fait du bénévolat pour les services de santé de l’Alberta. Elle a également présenté ses recherches en neuro-imagerie au Congrès mondial sur les traumatismes crâniens, elle a étudié la santé publique à Singapour et en Inde, et elle a travaillé comme consultante en gestion pour McKinsey & Company. Grâce à ses voyages et à ses aventures pluridisciplinaires, elle s’est rendu compte que même les plus petits moments de connexion avec les êtres humains constituent des défis pour les assomptions, stimulent la créativité et enrichissent la vie. Elle aspire à une carrière qui combinera les soins de santé, les médias et le développement communautaire.
Enav Zipora Zusman
Pharmacie, Université de la Colombie-Britannique
Enav est une scientifique ambitieuse, elle défend les droits prénataux et parentaux et elle est une activiste en sensibilisation à la santé mentale. Elle est étudiante dans le programme de doctorat professionnel en pharmacie comme niveau d’entrée à la profession (PharmD) à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) où, en plus de suivre des cours à temps plein, elle mène des recherches dans le domaine de l’adhésion aux médicaments et de la santé mentale au cours de la grossesse. Enav croit en l’importance de s’assurer que les mères continuent à étudier à l’université et de mettre à leur disposition le soutien[...]
Enav est une scientifique ambitieuse, elle défend les droits prénataux et parentaux et elle est une activiste en sensibilisation à la santé mentale. Elle est étudiante dans le programme de doctorat professionnel en pharmacie comme niveau d’entrée à la profession (PharmD) à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) où, en plus de suivre des cours à temps plein, elle mène des recherches dans le domaine de l’adhésion aux médicaments et de la santé mentale au cours de la grossesse. Enav croit en l’importance de s’assurer que les mères continuent à étudier à l’université et de mettre à leur disposition le soutien dont elles ont besoin pour réussir. Étant elle-même étudiante et mère et ayant observé le taux élevé de décrochage parmi les mères après leur grossesse, ce sujet lui tient particulièrement à coeur. Avant de s’inscrire dans le programme PharmD, Enav a obtenu une maîtrise. Au cours de ses études de second cycle, elle a été vice-présidente des affaires universitaires de la Société des étudiants de cycles supérieurs à l’Université de la Colombie-Britannique, où elle a plaidé pour que les étudiantes enceintes et celles qui viennent d’accoucher bénéficient de meilleures conditions aux niveaux de l’université, de la province et au fédéral. Elle est impliquée dans sa communauté où elle a créé un groupe de rencontres pour les mères étudiantes de l’université. Le groupe collabore pour faire en sorte que chaque membre du groupe se sente soutenu pendant son parcours universitaire. De plus, Enav s’efforce d’accroître la sensibilisation aux problèmes de santé mentale chez les étudiants universitaires.